rebonjour,
Voici un mail que j'ai reçu pour diffusion la plus large, écrit par une personne qui a eu le courage et la curiosité de lire jusqu'au bout le projet de loi de Mma Taubira sur les droits des homosexuels en ma tiere de famille
Voici un mail que j'ai reçu pour diffusion la plus large, écrit par une personne qui a eu le courage et la curiosité de lire jusqu'au bout le projet de loi de Mma Taubira sur les droits des homosexuels en ma tiere de famille
J'accuse
la Garde des Sceaux"
Très
grave. A lire en entier et à diffuser largement. La
Garde des Sceaux ment.
Comme naguère Émile Zola : J’ACCUSE!
J’accuse
Madame Christiane
Taubira,
ministre de la Justice, Garde des Sceaux, d’avoir sciemment trompé
les Français le dimanche 13 janvier 2013 sur TF1 au journal de 20
heures de Claire
Chazal.
Je
vous accuse, Madame, d’avoir sciemment menti aux Français en leur
disant ce soir-là, je vous cite : «
Le Code civil ne bouge pas sur la filiation, il n’y a pas une ligne
de modifiée au titre VII qui concerne la filiation »,
alors qu’en fait, l’article 2 de votre projet consiste bel et
bien à remanier ce titre VII.
Mais
votre mensonge ne s’arrête pas là, vous qui avez dit ce soir-là
: «
C’est un texte de loi qui n’enlève strictement rien à personne,
qui ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » ».
Quel mensonge énorme ! L’avez-vous donc lu, votre projet de loi ?
Il comporte 9 pages, 23 articles. Eh bien, les pages 2 à 9, les
articles 4 à 21, consistent en la chasse aux mots « père » et «
mère » dans tout le corpus juridique français avec un effrayant
esprit de système.
Dans le Code civil, le mot « père » (et «
mère ») est effacé plus de 97 fois !!! Et vous dîtes devant des
millions de Français, dimanche dernier sur TF1, que le projet «
ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » » !
Votre mensonge est stupéfiant
Votre
projet est en fait essentiellement une chasse aux mots « père » et
« mère », aux mots « homme » et « femme », « mari » et «
femme » qu’il s’agit de faire disparaître dans tout le droit
français. Et même les mots « beau-père » et « belle-mère ».
Et les mots « paternel » et « maternel ». Un comble.
Faire
disparaître ces mots de tout le corpus juridique français, c’est
l’objectif caché de votre projet, c’est pourquoi vous avez menti
aussi effrontément. En effet, votre projet ne concerne pas seulement
le Code civil, mais aussi douze autres codes, comme le Code de
procédure pénale, le Code des transports, et quatre autres grandes
lois (l’ordonnance de 1945 relative à l’enfance délinquante ;
la loi sur la fonction publique hospitalière ; la loi sur la
fonction publique de l’État ; la loi sur la fonction publique
territoriale) car les mots désormais honnis qui ont le toupet d’y
figurer doivent en disparaître aussi… (Articles 5 à 21 de votre
projet).
Par
exemple, les mots « paternelle ou maternelle » figurent-ils à
l’article 399 du Code Civil ? Votre projet, article 4, 25° est
ainsi rédigé : «
L’Article 399 est (…) modifié : (…) c) Au dernier alinéa, les
mots : « , paternelle ou maternelle, » sont supprimés ; ».
Ces mêmes mots figurent-ils aussi aux articles 747 et 749 du Code
Civil ? C’est l’objet du 45° du même article 4 de votre projet
: « Aux
articles 747 et 749 les mots : « entre ceux de la branche paternelle
et ceux de la branche maternelle » sont remplacés par les mots : «
entre chaque branche » ; ».
Vous
n’avez pas craint de supprimer le beau mot de « maternel » de
tout le droit français. Vos électrices apprécieront. Ainsi, ce
n’est pas seulement l’accès des homosexuels au mariage que vise
dans votre projet de loi. Il veut en réalité enclencher un
bouleversement de la société française. Et parce que les Français
commencent à s’en apercevoir, vous leur avez menti en leur
affirmant le contraire de ce que vous aviez mis dans votre projet de
loi.
Madame
Christiane Taubira, ministre de la Justice, Garde des Sceaux :
dimanche soir sur TF1, vous avez abusé de manière à vrai dire
effrayante de la confiance de millions des Français. Maintenant,
vous êtes démasquée. Vous êtes prise en flagrant délit. Il ne
vous reste plus qu’à retirer votre projet de loi et à
démissionner.
*Jean
Vermeer, un citoyen français qui s’est donné le mal de lire
votre projet de loi